Et on pouvait parfois se demander : où sont ces plaines de la Mongolie ancienne, celles qui hennissent sous le galop des regards ? Et qu’en est-il de ces étalons sauvages perdus au vent d’une crinière ? Qu’en était-il en effet ?
Un seul mot résonnait encore dans ma gorge : race. De cette race supérieure que j’avais lue. Et de cette noblesse indomptée où se perdent les hommes de bonne foi. Une femme en devenir, certes. Mais une femme déjà sous une peau qui a perdu l’enfance futile et gardé dans ses joues les jeux tendus de l’inconscient. Peut-être m’emportais-je, mais mes mémoires effacent difficilement certaines rencontres.
J’aurais voulu la décrire cette rencontre. Et elle aussi. Mais « trouverons-nous un jour les mots pour dire le poids de la lumière ? » A quoi bon essayer de se perdre en mots. C’était une Venus Erotica dans le premier sens du terme. Une amazone fière au port altier des échos aux crevasses des hommes de bonne volonté.
Une femme, diraient certains. Mais l’art surprend là où on ne l’attend pas. Et quoi de plus artistique qu’une femme assumée ? Une femme ardente, dans la jouvence de l’être. Que dire à l’art quand il nous demande s’il nous plaît ? Que dire à l’art quand il se dilue lentement dans les souvenirs pour laisser quoi ?, une trace, une marque indélébile inscrite au papier noir d’yeux profond. Que dire de l’art quand il s’échappe dans ses propres rêves ?
Et aucune issue ne paraît laissée à celui qui se perd. Rien.
Sinon le silence héroïque de la distance.
Et les confidences d’une fille qui dort.
bon, voilà, il paraît que je m'y mets alors je vais le faire pour faire taire les rumeurs.
Autant dire tout de suite que je ne vais malheureusement pas poster des jolies photos que tout le monde dira qu'elles sont belles. pas que j'en sois incapable, c'est juste que je n'ai pas de numérique !
Sinon, ça commence fort. Je viens de me lever. J'ai déssaoûlé.
et on m'a tapé dans l'oeil hier soir. Genre un gros doigt dans la rétine. Mais elle n'a pas fait exprès. Enfin, je ne pense pas. Quoiqu'il en soit, ben, voilà... Maintenant, je pleure tout seul dans mon coin. Mais plus pour la même raison qu'avant. M'enfin, vous n'en avez certainement rien à foutre alors je me demande déjà pourquoi vous lisez jusqu'ici...
En fait, voilà.
Ah oui, au fait, je voulais poster ça :
"Une autre pensée presque aussi angoissante vint m'assaillir :
Écrirais-je jamais quelque chose de valable ?La réponse qui me venait aussitôt aux lèvres était :
Va te faire voir ! Puis une autre question se présenta aussitôt :
Pourquoi suis-je si obsédé par la vérité ?Et la réponse me vint instantanément, nette et sans bavures.
Parce qu'il n'y a que la vérité et rien d'autre que la vérité.Mais une toute petite voix m'objectait :
Il y a aussi la littérature. Au diable la littérature !
Le Livvre de la vie, voilà ce que j'écrirai.
Et de quel nom le signeras-tu ?
Le CréateurCe qui sembla clore le débat."
(H.M. -1960-,
Nexus, p.353)
Le genre de bouquin qui marque. depuis que je lis (ai lu) j'en parle à tout le monde.
voilà, j'ai trouvé un truc.
bientôt plus de trucs alors
au fait, je pense bien être une grosse m *** en informatique parfois. je vais y prêter attention quelque temps. aussi pourrais-je peut-être mettre des supers liens, genre vers des sites que j'aime bien. mais ça prendra assurément un peu de temps. patience donc
en attendant, voici une nouvelle image dont vous pourrez vous délecter. ça fait chaud aux oreilles, mais bon...
wafti.
tout nouveau tout beau, comme on dit.
bon. on va commencer par une image alors, comme tout le monde.
bonjour tout le monde, d'ailleurs. Au passage
Voilà donc comment fonctionne, en gros, une chaudière. Si ça intéresse quelqu'un, je peux toujours envoyer le document. Merci de me faire signe.