surprises
un cheveu oublié sur le lit
Friday, March 31, 2006
je sens qu'on va s'amuser...
merde, merde, merde, merde, merde !
et merde !
j'ai toujours aimé les mathématiques.
je ne sais pourquoi,
j'ai toujours eu un penchant fasciné
pour tous ces embricaillements résolvables de labyrinthe.
Puis là,
je me retrouve face à une équation sans inconnue
et je ne peux pas la résoudre.
étonnant, non ?
merde !
Tuesday, March 28, 2006
pétition
mes amis qui s'occupent du layout de
nameless ont, sans me consulter, changé les photos qui déroulent de manière aléatoire sur le site. à la place de jolies photos de concerts, on a maintenant droit à des photos de "printemps". certes, cette saison ne me déplaît pas (sauf quand je me prends des grelons sur la tête alors que je me ballade en rue). néanmoins, je ne peux m'empêcher d'avoir des hauts-le-coeur à la vue de ces photos trop proprettes à mon goût. je n'ai pas d'autres mots : ces photos sont trop propres ! beurk, beurk, beurk ! halte aux dégueulis de propreté ! halte aux bourgeons et fleurs qui éclosent ! halte aux hirondelles sur ciel bleu ! c'est comme si je commençais à me ballader avec des classeurs avec des têtes de chevaux ou des petits chats qui dorment !
aussi vous proposerai-je, chères lectrices et chers lecteurs (car, quelque part, vous devez exister, je le sais), de laisser un message en réponse à ce post afin de vous plaindre également de ces photos. je transmettrai les messages à qui de droit.
merci d'avance pour le soutien que vous m'accorderez.
Friday, March 24, 2006
je viens de regarder "ultranova" de bouli lanners. rien à dire. déjà, j'aime bien le personnage. mais quand il réussit à retranscrire son étrangeté et son côté attachant dans un long métrage, je trouve finalement cela troublant. et, d'un certain point de vue, émouvant. peut-être est-ce la fatigue qui me rend sensible, je n'en sais rien. en tout cas, j'ai eu un peu l'impression d'assister pendant quelques minutes à un sentiment agréable que je ne pourrais pas nommer. quand bien j'en aurais envie, de le nommer.
le film se termine su un morceau de zop hop op. et je n'ai pu m'empêcher, maintenant, de me repasser "western", son deuxième album. aux arômes tout aussi étranges et attanchants que le film de lanners. les deux gaillards se connaissent, je pense. et c'est tout un microcosme dans lequel j'aime me plonger, par moments. comme ce soir. c'est très agréable. cotonneux. doux. et pourtant, on a toujours l'impression que tout peut basculer. on ne sait pas quand, on ne sait pas comment. on ne sait même pas si ça va arriver. mais c'est là. alors, en quelque sorte, on n'y prête plus trop d'attention. on profite simplement de tout ce qui ressort. des émotions. celles-la mêmes que jean-claude veut "maîtriser", dans le film.
je n'ai pas vraiment envie de maîtriser mes émotions.
Wednesday, March 22, 2006
Saturday, March 18, 2006
another saint patrick's nite
22h27
i was running thru streets
and saint patrick still singing in the eyes
there were no whiskeys in the bar
but beers and cigarettes
and women and smiles
covered with the hands of all the people i’d met
there was a time of freedom
i could have slept homeless that nite
--------------
22h56
somebody called me a poet tonite and i trusted him
even though I’ve not that pretension, you know
but he was casting that same glance
as the man on the street that one day
told me god loved me
i don’t believe in god anymore
but i believed that man
for his tongue was uncorrupted
and his eyes telling me of happiness
somebody called me a poet tonite and i trusted him
even though i don’t think much of poets
as i don’t of comedians either
but… well… we’re all humans after all, aren’t we?
Thursday, March 16, 2006
hehe... je viens enfin de recevoir une réponse de celena glenn que j'avais rencontrée aux nachten en janvier.
suis déjà tout excité à l'idée de peut-être la revoir en mai... enfin, j'espère qu'elle traînera bien à bruxelles un jour ou deux autour du concert de cocorosie. je reviens du canada le lendemain.
plaise à dieu que nous nous rencontrions une nouvelle fois !
Sunday, March 12, 2006
namur la morte
j'avoue, j'ai encore un peu de mal à y croire. namur la morte m'a enfin ouvert une porte hier soir.
j'ai terminé la soirée dans un café de la ville avec des comédiens bruxellois qui répandaient depuis quelques jours leurs salves salvatrices à la maison de la poésie. sans grand retentissement, malheureusement. leur succès fut à l'image du public namurois. triste et calme. voire même, quasi inexistant. seule reconnaissance, quelques passionnés qui ont osé traîner leur savates dans les environs. et ne l'ont pas regretté.
mais quelle bonne soirée ! j'ai un peu l'impression d'avoir rêvé, en fait. me retrouver là, dans cette ville dont la morosité m'agace chaque jour un peu plus, avec des inconnus et m'amuser ! rire à gorge déployée, ne penser à rien, boire une bière, causer de tout et de rien... ça fait du bien.
et cette demoiselle perturbante, subtil mélange d'un ami au charme étonnant et d'une fille qui marqua ce tournant décisif dans ma vie, il y a 4-5 ans. très étrange. certes, aucune attirance, mais réellement un sentiment fugace d'émerveillement, de retour, de redécouverte.
rares soirées inattendues...
Saturday, March 11, 2006
voilà. fini, le festival.
quelques merdes avec les bourrés, encore quelques comptes à régler et à tirer et puis fini.
content.
Thursday, March 09, 2006
bon, c'est parti. le premier
festival que je mets en place de bout en bout (avec d'autres personnes, évidemment, mais c'est la première fois que je pourrais, avec pas mal d'ego, me proclamer "organisateur" - en somme, à mon échelle, je serai un petit carlo di antonio, quoi :-D)
mon dieu, comme c'est excitant !
bon.
ben, voilà.
alea jacta est.
Wednesday, March 08, 2006
bon. pour les incultes parmi vous, ce texte est du grand monsieur que
voici.
sinon, ce soir, c'est "frites time" !
c'm on, baby!
hihi...
je marier vous cannibale tu manger moi et je dévorer vous vous êtes joli casse-dalle je faire croquer mon monsieur par vous je rouler vous dans caniveau je chuchoter secrets aux commissures nous se prendre des seaux d'eau nous courir tout nus dans la natureun bisou à qui me dit d'où vient tout ça
Tuesday, March 07, 2006
Sunday, March 05, 2006
je suis parfois un des pires cons.
mais peu le savent déjà.
le temps passe vite et j'ai arrêté de compter. déjà qu'on ne peut plus compter sur grand monde.
le temps passe vite et on a toujours l'impression de courir. parfois, j'ai un peu l'impression d'être essoufflé. c'est quand je me mets à courir, je crois. alors je m'arrête et recommence à marcher. j'en ai un peu marre de tout ça, de ne pas prendre le temps d'écouter une musique parce qu'elle me touche, de ne pas prendre le temps de regarder une fille parce que je la trouve jolie. j'en ai marre aussi de ne pas pouvoir sentir un rayon de soleil sur mes jours parce que je me suis entourré d'une écharpe trop grande pour ne pas prendre froid. mais qu'est-ce que je peux me foutre du froid si j'ai du soleil dans les yeux !
et puis qu'est-ce que je peux me foutre des gens qui ne répondent pas, des gens qui ne nous regardent pas, des gens qui ne boivent pas la même eau parce qu'ils la disent polluée, des gens qui vivent sous procuration dans l'attente d'une nouvelle condamnation, des gens qui attendent encore qu'on leur prescrive la fleur qui sent bon parce qu'ils ont perdu l'odorat à force de ne plus respirer.
qu'est-ce qu'on peut s'en foutre, merde !
qu'est-ce qu'on peut s'en foutre !
moi, j'ai juste envie d'aller marcher dans les bois.
Friday, March 03, 2006
repos forcé
bon. j'essaie de me reposer, mais ce n'est pas facile. pas facile de ne pas toucher cet ordi. encore moins facile de ne pas attraper un bouquin ou une revue. je me suis dit que je n'allais rien lire ce soir. purée, c'est vraiment pas facile.
alors j'ai essayé la télévision.
on ne reçoit ici que trois chaînes :
- une chaîne flamande grand public (jeu aux allures bien douteuses où une équipe de filles se trouve confrontée à une équipe de garçon - tout le monde sourit, rigole, danse et... se force) ;
- une chaîne flamande de je ne sais pas quoi, plutôt sans parole, avec un gars dans une sorte de barque sur un fleuve dans un pays lointain ;
- et une chaîne locale qui diffuse un reportage sur la transformation d'espaces professionnels (des bureaux) en logements (lofts).
bref, je n'ai même pas tenu une demi-heure.
pas facile de se reposer...
je vais aller boire une bière au café du coin, tiens.
diagnostique :
faut vous reposer de temps en temps me dit-il avec son air satisfait.
j'ai un peu de mal à comprendre, je n'arrête pas de dormir.
je ne peux pas lui dire, il enchaîne avec une explication sur l'envoi de sa fille en pension aux soeurs de sainte-marie à jambes. puis il déplore l'état des pistes cyclables en wallonie tout en rédigeant un semblant de prescription et en réfléchissant au chat qui est dehors en train d'attendre, derrière la porte.
parce qu'il gèle pour tout le monde, hein.
et profitez de votre weekend pour vous reposer, hein.
voilà. ça fera 23,5 euros.
argh... j'aurai bien besoin de mon weekend, moi...
Wednesday, March 01, 2006
question
pourquoi me suis-je habillé ce matin ?que tous ceux qui me croisent m'exposent leur théorie.
merci.
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