surprises
un cheveu oublié sur le lit
Friday, July 29, 2005
un après-midi comme un autre
aujourd'hui, j'ai rencontré hugues, à la terrasse d'un café. je ne buvais pas d'alcool. lui, de son côté, était attablé devant une 33 qu'il accompagnait d'un grand verre d'eau. il s'est présenté à moi en tant que "rockeur-diplomate", ce dont je n'avais encore jamais entendu parler. je n'ai pas compris tout ce qu'il m'a dit, sa sympathie et son allant emportant bien souvent son message dans les bas-fonds de la conversation. j'ai cependant compris qu'il me proposait de fonder un club de rockers (prononcez le 's') -on le surnomme apparemment le "rolling stone"- dans la capitale ou de partir dans des champs de ses amis en ardenne. pour que faire, je ne l'ai pas compris. mais il m'a laissé sa boîte postale.
j'ai ensuite pris le tram. là, j'ai souri à un homme d'une soixantaine d'années. il m'a souri en retour. ce qui m'a bien changé du "connard-connasse" que j'ai entendu s'échanger en rentrant dans le wagon. une dame m'a également parlé. elle paraissait heureuse. elle me racontait l'effet apaisant qu'a sur elle la grand place. elle aurait compris aujourd'hui à quoi il serait dû. les passagers allant et venant, nous avons été séparé et je n'ai pu lui dire au revoir.
ça fait plaisir à voir des gens heureux.
ça donne envie de leur sourire.
Thursday, July 28, 2005
la panne
wééé ! vive la mer du nord !
je pars samedi travailler là pour deux semaines. une sorte de réapprovisionnement en iode ou quelque chose comme ça. toujours est-il que j'espère bien en profiter. pour me reposer, lire, écrire, et tout ce qui me fait du bien en dehors de ce monde de brutes. écouter de la musique aussi.
je sais, c'est stupide de dire que j'aime écouter de la musique. mais... j'aime écouter de la musique.
bon...
hehe...
voilà, quoi.
Monday, July 25, 2005
un weekend à spa
francofolies ? où ça ? rien vu de très fou, à vrai dire. en fait, pas grand chose qui m'y intéresse. j'y suis pourtant. pourquoi ? autant garder le secret. temps maussade, à l'instar de l'ambiance et des prestations des groupes. concours ? bof... vraiment, bof...
camping ? on ne m'y reprendra plus. réveillé après trois petites heures de piètre sommeil par un pseudo-scout (j'aime pas les scouts !) qui reprend du cabrel ou s'essaie au "grand" joe (dassin, pas cocker), je me prends du calogero en pleine face à peine deux heures plus tard, en ouverture du match opposant les artistes à une "équipe de jeunes" locales (j'imagine, je ne me suis pas renseigné.)
bilan : juste une note en demi-teinte pour rattraper le weekend. la note se reconnaîtra aisément. ah oui, dimanche matin, j'ai mangé une pomme pour déjeuner. une jonagold. miam miam.
aujourd'hui, on repart au boulot. ça fait vivre, il paraît. moi je dis, qui vivra verra.
et, surtout, il n'y a pas pire regret que celui des choses qu'on n'a pas faites.
j'aurai fait les francofolies une fois dans ma vie. maintenant, je sais.
ps : ci-joint, la façade maussade d'un vigneron alsacien... en l'occurence, le papa de laetitia. ça devrait m'aider à retrouver le moral, ça. enfin, j'espère...
Wednesday, July 20, 2005
drôle de matinée
à quoi je joues ?
je n'en sais rien
j'ai à vrai dire peu de temps
mais je le passe ainsi
j'ai peut-être perdu un peu de vieillesse du côté de la meuse
va savoir
on dirait un parapluie ouvert
et le soleil qui brille par dessous
on dirait une alouette en hiver
et une taupe à lunettes
on dirait quelque chose comme ça
rien de plus, rien de moins
que ça
Monday, July 18, 2005
à l'année prochaine ?
voilà,
dour c'est déjà fini ! m'enfin, on s'est quand même bien amusé... La preuve :
la photo est de mag que j'étais bien content de rencontrer ! de même que izo (sans rancune, hein, fieu ?) et kevin ! Idem pour manu. C'est chouette de bosser en équipe quand on bosse seul dans son coin toute l'année ! Et je n'oublie pas elea (qui reste un mystère pour beaucoup... Mais qui est-elle donc ? On raconte qu'il s'agirait d'alex qui aurait pris un pseudo... -véridique) et yannick !
aaah, quel bon weekend que celui-ci ! Vive l'an prochain...
Thursday, July 14, 2005
Dour ?
Monday, July 11, 2005
encore des nouvelles ? Pfff...
Bon. Pas grand chose à ajouter à vrai dire. Sinon,
Dour - 3 ! Yeah ! Et puis une idée d'écriture... Peut-être. Faudra mettre ça sur papier... On verra, on va encore y réfléchir. J'espère que ça pourra donner quelque chose. Ça fait longtemps que je n'ai plus rien écrit de constructif... Je vous tiens au courant de tout manière... Bon surf d'ici là. Sinon, on se croise à Dour.
Wednesday, July 06, 2005
hem... je suis chez emil pour son anniversaire. un peu saoul, à vrai dire. bon anif emil
à bientot, les amis
Monday, July 04, 2005
yeah !
Bonne journée. Je me rend compte que j'ai deux lecteurs.
Ne partez pas. Bientôt plus de réjouissances ! Tout est en préparation...
Saturday, July 02, 2005
voilà c'est parti. Je m'engage officiellement à suivre pendant quelques concerts des amis qui j'aime bien. Je ne dirai pas leur nom ici en direct, mais une chose est sure, le petit reportage devra être prêt pour fin septembre. Un peu de patience donc, du travail aussi et, je l'espère, beaucoup d'amusement. Mais pour ça, on verra plus tard...
Friday, July 01, 2005
after a good night, what else than fever ?
Parce que des chansons usées dans ces bouches trop pleines et lasses du bien-être ne suffisaient plus. Parce que rien ne pouvait plus arrêter les lamentations creuses des cocons. Et les nuages flous foulaient à l’envi l’horizon trop fait.
Parce qu’on se demande si les Atlantes ont réellement existé. S’ils nous ont laissé enfants de regard. Fous de Dieu. Pèses-miroir.
Parce que l’absence trop longue pour palier encore le sommeil. Et ces rythmes absents aussi assènent le corps. L’enlacement surpris des escargots. Les embrassades illégitimes. Ou la furie d’une nuit d’été qui n’en finit plus.
Un an plus tôt se terminaient les amours heureuses d’un port. Le chat aujourd’hui regarde toujours par la fenêtre. Ses babilles frétillent toujours à la vue des pigeons. On voudrait le suivre dans ses yeux émeraude. On voudrait tellement d’impossible.
Et la pluie ne cesse pas. Comme une voix rocailleuse au delta d’une envie. Comme échelle refermée sur elle-même. Et des enfants partout dans la rue. Des cris de joie, des pleurs, des envols de voix. Et des mères qui se disputent.
Des mers enfouies sous l’asphalte.
Et des pleurs aussi.
Et des égouts.
Débordent leur soif où s’enterre l’esprit.
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